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Six choses à savoir sur Stefanos Tsitsipas, le jeune Grec tombeur de Federer

Publié le : 26/01/2019 13:19:37
Catégories : Découvrir la Grèce et la Messénie

Six choses à savoir sur Stefanos Tsitsipas, le jeune Grec tombeur de Federer

Depuis un peu plus d’un an, un jeune loup trace sa route dans les allées du tennis professionnel. Stefanos Tsitsipas, 20 ans, est arrivé à Melbourne dans la peau du 14e joueur mondial. Le Grec s'est offert dimanche rien moins que le scalp de Roger Federer, tenant du titre et sextuple vainqueur du grand chelem australien, au terme d'un huitième de finales très disputé (6-7, 7-6, 7-5, 7-6). Avec son coup droit et son gros service, le droitier au revers à une main a franchi une marche supplémentaire et ajouté un épisode à une histoire jeune mais déjà riche. 

Il est déjà le meilleur joueur grec de l’histoire

A seulement 20 ans, Stefanos Tsitsipas peut se targuer d’être déjà le meilleur joueur de l’histoire de son pays depuis le début de l’ère open, en 1968. Après un beau parcours au tournoi d’Anvers, en octobre 2017, le tennisman est devenu le premier Grec à entrer dans le classement des 100 meilleurs joueurs du monde. Une performance que ni Nicky Kalogeropoulos (108e mondial en 1973), ni Konstantínos Iconomídis (112e mondial en 2007) n’avaient réussi à accomplir.

Il a effectué une année 2018 de folie

2018 aura été l’année de la révélation pour Stefanos Tsitsipas. Au tournoi de Barcelone, il se fraie un chemin jusqu’en finale en s’offrant le scalp de Dominic Thiem (7e joueur mondial), mais doit rendre les armes contre Rafael Nadal. Le Grec se hisse ensuite en huitième de finale à Wimbledon avant de réaliser son chef-d’œuvre de la saison à Toronto. Au Canada, l’Athénien sort trois tops 10 : le Serbe Novak Djokovic, l’Allemand Alexander Zverev et le Sud-Africain Kevin Anderson avant de s’incliner en finale. Du jamais vu depuis Nadal en 2006. Le Grec termine la saison en remportant les Next Gen ATP Finals, un tournoi réunissant les meilleurs jeunes tennismen du monde.

Il a la communauté grecque de Melbourne derrière lui

A l’Open d’Australie, Stefanos Tsitsipas se sent comme à la maison. Dès qu’il entre sur le court, le tennisman de 20 ans peut compter sur une foule bruyante, vêtue en bleu et blanc et complètement acquise à sa cause. «Melbourne est la ville avec la troisième plus grosse communauté grecque après Athènes et Salonique, analyse Tsitsipas dans les colonnes du Guardian. Je n’ai jamais reçu autant de soutien sur un court de tennis.» Dans le sud de l’Australie, le prodige pourra même bientôt déguster une spécialité grecque à son nom. Stalactites, le restaurant qui est prêt à lui faire cet honneur, avait déjà fait inscrire Marcos Baghdatis sur sa carte lorsque le Chypriote avait atteint la finale de l’Open d’Australie, en 2006.

Il publie des vidéos de ses voyages sur Youtube

Pendant les tournois, les tennismen restent souvent dans leur bulle. Stefanos Tsitsipas ne déroge pas à la règle, mais profite aussi de son temps libre pour visiter les villes où il est en compétition. Sur son compte Youtube, il publie des vidéos de ses voyages et raconte ses aventures dans un carnet de bord numérique. «Je considère les vidéos comme une sorte de plan B pendant les tournois, raconte Tsitsipas au New York Times. Si les choses ne se passent pas bien au début de la compétition, je vais en profiter pour faire une vidéo. Mais si je gagne mes matchs, j’essaie de ne pas y penser.»

Il a du caractère et n'aime pas les casques audio

Si Stefanos Tsitsipas a l’air doux comme un agneau sur ses vidéos Youtube, sur un court de tennis c’est autre chose. Le Grec est un joueur sanguin capable de se mettre dans des colères noires. Un point qu’il devra certainement améliorer s’il souhaite continuer son ascension. Et ce n’est pas ce casque audio, brisé lors de la demi-finale du Milan Next Gen qui dira le contraire…

Il descend d’une lignée de sportifs

Dans la famille Tsitsipas, Stefanos n’est pas le premier tennisman. Sa mère, Julia Apostoli, née Salnikova fréquentait aussi les courts dans ses jeunes années. Elle obtiendra son meilleur classement en 1990 en se hissant à la 194e place mondiale. Le père de celle-ci, Sergueï Salnikov, était footballeur professionnel et fut sélectionné à 20 reprises dans l’équipe de l’Union soviétique. Une équipe avec laquelle le grand-père de Stefanos Tsitsipas obtiendra la médaille d’or aux Jeux olympiques de 1956 à… Melbourne.

Par Nicolas Grellier 19 janvier 2019 www.liberation.fr

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